Presse

Articles dans la presse :

Radio :

Télé :

Podcasts :

*tous les articles antérieurs à 2024 ne sont pas à jour sur ma façon de travailler actuelle

Mood #3 : Instagram expliqué à ma mamie

C’était plus facile de dire “je travaille dans un château de la Loire”, mais ça, c’était avant. C’est quelque chose auquel je n’avais pas pensé après ma démission, comment est-ce que je me présenterai aux gens désormais ? Quand je cumulais les deux activités, je choisissais toujours la facilité et je parlais du château. Maintenant, je dois m’adapter à chacun de mes interlocuteurs et spoiler : parfois, quand je rentre dans une pièce pleine de gens que je ne connais pas, j’espère qu’on va m’oublier !

Pourquoi ? Car le sujet interpelle immédiatement et s’en suit systématiquement une longue conversation sur ce que je fais, comment je le fais, comment ça se fait que j’en vis, “mais quand même les influenceurs y’en a qui font n’importe quoi”… Je sais que c’est une conversation qui va me coûter de l’énergie mais allons-y gaiement !

Ma présentation change donc en fonction de mon interlocuteur. Si c’est quelqu’un de plutôt jeune, je dis quelque chose du genre “j’ai un compte Instagram où je partage des adresses en Touraine, à Paris et en France”. Si c’est quelqu’un du milieu de la communication etc, j’utilise le terme “créatrice de contenus sur les réseaux sociaux”, moins connoté négativement que “influenceur”. Terme que j’évite à tout prix si la personne est de la même génération que mes parents. Ça se complique à ce niveau-là, donc imaginez quand ma mamie me demande “mais qu’est-ce que tu fais en fait ?”…

Comme de base, et c’est bien normal, le concept de “réseaux sociaux” est déjà flou pour ma mamie, je dois ramer avec des termes plus classiques mais qui se rapprochent quand même de ce que je fais. Je fais “des reportages” comprenez des stories et posts, réels etc de mes voyages, je fais donc des “articles” un peu comme une “journaliste

Ce qui est le plus difficile c’est de traduire l’idée de l’influence, le fait que j’ai une communauté. Le fait que de cette influence découle un revenu. Je fais donc des “pubs” et on me paie pour ça. Voilà la façon dont j’essaie de lui expliquer mon métier ! Je sais que c’est encore flou pour elle, mais elle me suit sur Instagram et n’en loupe pas une miette, alors c’est que ça lui plaît quand même ♥

Mood #2 – “Comment tu t’es lancée sur Instagram ?”

Voilà la question qu’on me pose le plus ! Elle va de paire avec : comment tu fais pour en vivre ? / qu’est-ce qui a fait que tu as créé cette communauté ? / c’était ton objectif depuis le début ? Le sujet est vaste donc je répondrai au fil de ces articles. À la question en objet dans un premier temps, je répondrai que : je ne sais pas vraiment. La création de ce compte s’est faite très naturellement, et sans avoir conscience qu’un jour il deviendrait ce qu’il est.

Je suis une grande fan de Youtube, je consommais beaucoup de vlogs et autres vidéos voyage, lifestyle, même beauté. J’avais envie de moi-même poster sur ces sujets, mais il était hors de question de publier sur mon propre compte privé. J’avais peur des questions d’amis qui me suivaient et qui n’auraient pas compris ce revirement. Alors j’ai créé @emmyzapartca et je n’ai ajouté AUCUN de mes amis dessus. C’était mon compte secret !

Il est resté secret (excepté pour une poignée d’amies dans la confidence) jusqu’à ce que j’atteigne les 10 000 abonnés. Tout devenait difficile à cacher ! L’algorithme me recommandait à des connaissances qui m’envoyaient en message privé “oh mais c’est ton compte ça ??”. J’ai fait quelques crises cardiaques. Je recevais beaucoup de colis, j’allais à des évènements toutes les semaines… J’étais à Paris à ce moment-là, et mon compte Instagram prenait de plus en plus de place dans mon quotidien.

Un peu avant de passer le cap des 10 000 abonnés, j’alimentais mon compte de façon à ce qu’il grandisse. J’avais légèrement mis un pied dans le monde de l’influence et je voulais voir jusqu’où je pouvais progresser. Je n’avais toutefois pas à l’époque conscience du fait que beaucoup était rémunérés pour des collaborations, j’acceptais des briefs très exigeants alors que je n’étais même pas payée (un autre sujet de mood ça tient !) etc… J’avais encore tout à découvrir.

Et avant, comment j’ai progressé ? Je postais souvent, ce que j’aimais, sans prise de tête, je répondais à tout le monde, je mettais beaucoup d’efforts pour créer un joli feed (comme c’était la mode à l’époque) et l’algorithme n’était pas ce qu’il était aujourd’hui. Pour ceux qui cherchaient la recette magique, je ne l’ai hélas pas !

Les “coulisses” comme ça, c’est un format qui vous plaît ?

À très vite.

Lecerf Joaillier, une bijouterie tourangelle au pied de la Tour de l’Horloge

Lecerf Joaillier, une bijouterie tourangelle au pied de la Tour de l’Horloge

Il y a quelques temps j’ai pu vous faire découvrir sur Instagram une très belle bijouterie à l’emplacement étonnant, précisément au 84 rue des Halles à Tours. Ceux qui connaissent bien la ville sont déjà passés devant l’imposante Tour de l’Horloge, vestige du XIIème siècle de l’ancienne basilique dédiée à saint Martin de Tours. Au pied de celle-ci, une belle vitrine attire l’oeil…

Façade de la boutique et bijuterie Lecerf au pied de la Tour de l'horloge
Une situation unique

Lorsque l’on passe le pas de la porte de la bijouterie Lecerf, on sent le poids des siècles au-dessus de nos têtes ! Les murs nous le rappellent immédiatement. J’ai tout de suite pensé que la tour devient ici une sorte d’écrin, qui abrite un véritable savoir-faire depuis 35 ans. Ce savoir-faire se transmet de père en fils.

J’ai eu la chance de pouvoir découvrir le premier étage de la Tour de l’Horloge où Emmanuel et Jean-Baptiste Lecerf donnent vie à la médaille de Saint Martin. Peut être que des tourangeaux parmi vous la connaisse déjà ? Cette médaille a été créée à partir d’un sceau ancien du XIVème siècle, provenant du prieuré de Cunlhat, dans le Puy de Dôme. Rappelez-vous : Saint Martin est le saint qui a découpé son manteau pour le partager avec un nécessiteux. Un ancien prix de Rome, Jacques Devigne (médailleur et graveur) a également participé à la réalisation de cette médaille.

Presse à balancier u XVVIIIème siècle de la bijouterie Lecerf
Les médailles sont frappées sur la presse à balancier datant du XVIIIème siècle

Outre la médaille de Saint-Martin, Emmanuel et Jean-Baptiste Lecerf travaillent les diamants, rubis, saphirs, émeraudes et pierres précieuses. Ils peuvent également réaliser des créations sur-mesure et ont a coeur d’être à l’écoute des besoins de leurs clients.

Lors de ma venue, j’ai découvert un bijou en particulier : une bague en argent massif ornée d’une pierre de Tahiti naturelle. Superbe bijou ! Une fois portée, elle est très élégante et affine la main.

Bague de la bijouterie Lecerf joaillier
©Lecerf Joaillier

La bonne nouvelle ? Nous organisons actuellement un concours sur mon compte Instagram pour vous faire gagner cette magnifique vague ! Rendez-vous par ici.

Emmy Alexandre portant une bague Lecerf joaillier
Une bague élégante et raffinée

Je suis très heureuse de pouvoir vous montrer le travail d’artistes joailliers passionnés ! Si vous ne les connaissiez pas encore, j’espère que leur de votre prochain passage près de la Tour de l’Horloge vous vous arrêterez admirer la vitrine…

Merci à Emmanuel, Jean-Baptiste et Hermine pour leur confiance et de m’avoir donné la chance de découvrir leur travail !

À très vite,
Emmy de @emmyzapartca

Et mis à part ça…

Je suis Emmy de @emmyzapartca et j’ai ouvert ce blog après plus de cinq ans passés sur Instagram à partager autour de différents thèmes : food, voyage, lifestyle, bonnes adresses, etc !

Ma spécialité ? Le patrimoine, la gastronomie, le tourisme, l’oenotourisme… je visite des lieux à la recherche de pépites ou “coins de paradis” comme j’aime les appeler.

Je suis depuis trois ans tourangelle mais j’ai fait mes études et vécu à Paris. J’y retourne donc très souvent et vous trouverez autant d’adresses en Touraine que de bons plans à Paris. Et en France en général.

Lorsque je me suis inscrite sur Instagram, je n’aurais jamais pensé avoir un jour une communauté de plus de 22 000 abonnés. C’est assez fou et j’ai eu l’occasion de faire tellement de choses géniales grâce à mon compte ! Alors le but par ici est de vous partager toutes ces découvertes et bons plans, afin que tout le monde puisse en profiter… Depuis octobre 2022, j’ai démissionné de mon CDI et je suis désormais 100% à mon compte. Oui, je vis de ce que je fais !

En mai 2022, la maison d’édition Emons-Verlag m’a proposé d’être l’auteur du futur guide 111 Lieux en Touraine à ne pas manquer. C’était une surprise et un vrai plaisir de voir le travail que j’ai fait ces dernières années reconnu. Je suis en pleine rédaction jusqu’en juillet 2023, et le guide sortira en 2024.

J’ai récemment enregistré un podcast avec Clervie Rose qui a créé Oser la reconversion, vous en apprendrez beaucoup plus sur mon parcours : ici !

À très vite,
Emmy de @emmyzapartca